Paul McCartney n'est pas une bille. Nous sommes quelques-uns ici-bas à le soupçonner depuis un petit bout de temps. Je serais, personnellement, même prêt à affirmer que McCartney n'est ni plus ni moins qu'un visionnaire. Son compère Lennon se débrouillait pas mal non plus mais un dénommé Chapman a précocement mis un terme à sa carrière d'extralucide.
En ce qui concerne Paulo, les preuves ne manquent pas pour démontrer à quel point l'homme était en avance sur son temps.
Afin de ne pas lasser le lecteur nous n'en citerons qu'une, mais qui suffira sûrement à le convaincre.
En 1966, Macca composait Eleanor Rigby pour les Beatles. Jusque là, rien que de très banal, me direz-vous... Sauf que ce n'est que 38 ans plus tard (en 2004 donc, pour ceux qui auraient arrêté l'arithmétique en petite section de maternelle) qu'un certain Douglas Coupland écrivait le roman du même nom qui avait inspiré la chanson.
Comment McCartney a t-il su ? Comment a t-il pu prévoir ?
Mais il y a plus troublant encore. Dans le roman de Coupland, Eleanor Rigby n'est pas le nom de l'héroïne. C'est juste le pseudonyme qu'elle utilise pour sa boîte mail. Or, en 1966, on était encore loin de l'invention d'internet et même des premiers ordinateurs individuels. Ce qui signifie que McCartney avait également anticipé ce progrès technologique.
Comment est-ce possible ?
Dans le texte de sa chanson, Paul cite un "Father McKenzie". On pensait que ce personnage de prêtre était un personnage né de l'imagination de l'auteur. Jusqu'à très récemment lorsqu'on découvrit sur la toile un blog australien portant ce nom. Ce n'est qu'à cet instant que l'on comprit que cette citation était là encore une prophétie.
Comment le croire ?
Et n'oublions pas que le premier pseudo de McCartney, lorsqu'il commença la musique en 1957, fut Paul Ramon, en hommage aux Ramones qui naquirent pourtant quelques 17 ans plus tard en 1974...
Comment ?
Voilà donc pour la seule Eleanor Rigby.
Et chaque chanson écrite par Paul McCartney fourmille ainsi de petites prédictions ou grandes prophéties. Nostradamus serait même un aimable plaisantin en comparaison car lui n'a jamais composé une seule pop-song ni fait fortune avec ses textes.
Ils sont donc bien gentils, ceux qui voient en John Lennon LE génie des Beatles et l'artiste majeur de la pop, mais c'est oublier bien vite, ou ignorer tout simplement pour beaucoup, le don incroyable de Paul McCartney.
Vous n'écouterez plus jamais les chansons de Macca de la même façon maintenant. Elles vous aideront même, à n'en point douter, à comprendre le monde dans lequel nous vivons et, si vous savez interpréter les signes, prendre les plus délicates décisions dans votre vie.
Merci Paulo.
En ce qui concerne Paulo, les preuves ne manquent pas pour démontrer à quel point l'homme était en avance sur son temps.
Afin de ne pas lasser le lecteur nous n'en citerons qu'une, mais qui suffira sûrement à le convaincre.
En 1966, Macca composait Eleanor Rigby pour les Beatles. Jusque là, rien que de très banal, me direz-vous... Sauf que ce n'est que 38 ans plus tard (en 2004 donc, pour ceux qui auraient arrêté l'arithmétique en petite section de maternelle) qu'un certain Douglas Coupland écrivait le roman du même nom qui avait inspiré la chanson.
Comment McCartney a t-il su ? Comment a t-il pu prévoir ?
Mais il y a plus troublant encore. Dans le roman de Coupland, Eleanor Rigby n'est pas le nom de l'héroïne. C'est juste le pseudonyme qu'elle utilise pour sa boîte mail. Or, en 1966, on était encore loin de l'invention d'internet et même des premiers ordinateurs individuels. Ce qui signifie que McCartney avait également anticipé ce progrès technologique.
Comment est-ce possible ?
Dans le texte de sa chanson, Paul cite un "Father McKenzie". On pensait que ce personnage de prêtre était un personnage né de l'imagination de l'auteur. Jusqu'à très récemment lorsqu'on découvrit sur la toile un blog australien portant ce nom. Ce n'est qu'à cet instant que l'on comprit que cette citation était là encore une prophétie.
Comment le croire ?
Et n'oublions pas que le premier pseudo de McCartney, lorsqu'il commença la musique en 1957, fut Paul Ramon, en hommage aux Ramones qui naquirent pourtant quelques 17 ans plus tard en 1974...
Comment ?
Voilà donc pour la seule Eleanor Rigby.
Et chaque chanson écrite par Paul McCartney fourmille ainsi de petites prédictions ou grandes prophéties. Nostradamus serait même un aimable plaisantin en comparaison car lui n'a jamais composé une seule pop-song ni fait fortune avec ses textes.
Ils sont donc bien gentils, ceux qui voient en John Lennon LE génie des Beatles et l'artiste majeur de la pop, mais c'est oublier bien vite, ou ignorer tout simplement pour beaucoup, le don incroyable de Paul McCartney.
Vous n'écouterez plus jamais les chansons de Macca de la même façon maintenant. Elles vous aideront même, à n'en point douter, à comprendre le monde dans lequel nous vivons et, si vous savez interpréter les signes, prendre les plus délicates décisions dans votre vie.
Merci Paulo.
The Thermals - Here's Your Future
